En 2021, la ville de Sursee a reconduit l’engagement d’un service d’ordre pour patrouiller dans les lieux publics. Ces agents sont intervenus de février à décembre, notamment en cas de troubles à l'ordre public ou de littering. Le communiqué de la ville indique que les collaborateurs de Securitas ont effectué plus de 1000 contrôles dans la vieille ville, près des centres scolaires et de loisirs, ainsi que dans la zone qui va de l’Untertor au Campus Oberkirch en passant par la gare. (…).
« Zofinger Tagblatt »

Le conseil de ville a avalisé un crédit annuel de 450 000 francs et le contrat de prestations avec Securitas pour le contrôle de stationnement à Thoune. (…). Mark van Wijk, s’exprimant au nom du PLR, constate que Securitas remplit tous les critères fixés par la ville pour un prestataire chargé de contrôler le stationnement. « Qui plus est, le système fonctionne à satisfaction depuis des années. » (…).
« Thuner Tagblatt »

(…). Le gouvernement bâlois a décidé il y a deux semaines de renforcer la présence policière dans la zone du port du Rhin les week-ends et les jours fériés. Début mai, une fête qui réunissait près de 1500 personnes s’était terminée par des bagarres et des coups de couteau. (…). Les collaborateurs de Securitas assistent la police dans la zone portuaire. Les forces de sécurité maintiennent le dialogue aux points chauds et se chargent de réguler le trafic. (…).
« Nau.ch »

Les statistiques des recherches sur les portails d'emplois permettent de classer les employeurs par ordre de popularité. (…). Les emplois dans le secteur de la sécurité sont toujours recherchés : le prestataire de service de sécurité Securitas occupe la deuxième place. Davide Villa, CEO de Jobcloud, explique que les emplois dans la sécurité et la surveillance résistent bien en temps de crises. » (…). « Blick.ch »

Par le passé, on les rencontrait aux grandes manifestations, aux concerts ou à carnaval. Le domaine d’activité des agents de sécurité a entretemps quelque peu changé. À cause de la pandémie, ils sont engagés pour diverses missions de contrôle (…) « Tout au long de l’année, de nombreux événements ont été annulés. Nous sommes désormais déployés à d’autres endroits. Nous effectuons par exemple des missions de contrôle dans les domaines skiables » (…). Les expériences des collaborateurs de Securitas dans les stations de ski ont jusqu’ici été toutes positives. « La présence de nos collaborateurs est bien acceptée par les amateurs de sports d’hiver et par les touristes ».
« Walliser Bote »

Dès aujourd’hui, des règles plus strictes s’appliquent aux visiteurs des établissements médico-sociaux. Les résidents ne peuvent plus recevoir que deux visites par jour (…). Les proches ont été informés lundi déjà. Securitas a également engagé du personnel supplémentaire pour les services de réception pendant les week-ends. « Enregistrer tous les visiteurs demande plus de travail ». (…).
«St. Galler Tagblatt»

La dixième édition du spectacle de son et lumière « Rendez-vous Bundesplatz » aura bel et bien lieu, mais pas comme d’habitude. (...). « Pour que quatre représentations puissent avoir lieu chaque soir, les spectateurs et spectatrices devront libérer la Place fédérale en l’espace de 15 minutes », explique le Conseiller communal Reto Nause, qui a approuvé le concept de sécurité. Des collaborateurs et des collaboratrices de Securitas ainsi que 20 bénévoles interviendront pour que les visiteurs et les visiteuses se sentent en sécurité. Ils apporteront leur soutien aux entrées et rappelleront le port correct du masque. (…).
« Berner Zeitung »

Le Conseil d’État met les choses au clair: obligation de porter un masque dans les commerces, limitation à 100 personnes dans les clubs et enregistrement obligatoire de l’identité des clients des restaurants. À Uster, on accueille cette décision avec philosophie. (...). L’atmosphère est bien différente au Hinwil Center. Roland Jungo, directeur du centre, déclare: «nous engagerons des collaborateurs de Securitas pour les premiers jours». Ils rendront les clients attentifs au port du masque. «Au début, il y aura certainement quelques réfractaires. Mais comme tout le monde porte un masque, cela ne dure pas. Cette forme d’autocontrôle social fonctionne.» (…). «Zürcher Oberländer»

Les collaborateurs de Securitas SA sont engagés à de nombreux endroits. (…) Jana Güdel en fait partie. Elle nous parle de son travail. (…) Mais comment une jeune femme comme elle se retrouve-t-elle chez Securitas ? Elle explique: «j’étais horticultrice et j’ai dû arrêter pour des raisons de santé. Alors j’ai cherché un nouvel emploi.» (…) Travailler de nuit ne la dérange guère, mais elle reconnaît qu’il faut faire attention à garder du lien social. «Il est vrai que je termine généralement mon travail à l’heure où mes amis et mes collègues se lèvent.»
«Unter-Emmentaler»

Les hôpitaux de Soleure SA (soH AG) font désormais appel à Securitas pour effectuer les contrôles d’entrée selon les nouvelles prescriptions. (…). Gian Trionfini, porte-parole de la soH pour les médias, explique: «à cause des règlements d’accès et de visite basés sur les concepts de protection exigés par la Confédération et d’autres règlements fédéraux et cantonaux pour les hôpitaux, nous sommes obligés de renforcer les contrôles d’entrée». Les collaborateurs de Securitas reprennent les tâches qu’assumait le personnel de la protection civile. Ils interrogent les patients et les autres personnes qui entrent dans le bâtiment sur la raison de leur visite. Ils leur donnent les informations nécessaires au sujet des mesures de sécurité et d’hygiène. (…).
«Solothurner Zeitung»

Le Conseil fédéral recommande de tester le coronavirus même en cas de symptômes légers. C’est déjà le cas dans le centre de test sous forme de drive-in à Berne. (…). Sur le parking de l’Allmend, un homme en uniforme de Securitas demande avec un large sourire: «vous venez faire le test ?» «Oui, c’est bien ça!» Le «Bund» accompagne une personne qui vient faire le test du coronavirus au centre drive-in sur le terrain de la BEA. (...). Sur le parking goudronné, une poignée de voitures attendent déjà sur trois colonnes. Plusieurs collaborateurs de Securitas avec des gilets réfléchissants orange maintiennent l’ordre. (…).
Le «Bund»

Pour une fois, ceux qui nous protègent ont aussi besoin d’être protégés. Les collaborateurs de Securitas ont reçu le mandat de surveiller le stock de masques de l’Hôpital cantonal de Lucerne (Luks). (…). "Conformément aux directives internes, les masques de protection ne sont plus délivrés que par les gardes de Securitas à l’entrée principale de l’Hôpital cantonal de Lucerne.» (…). Les Securitas (...) postés à l’entrée principale du centre hospitalier lucernois sont également les premiers interlocuteurs des patients potentiellement atteints du coronavirus. Ils distribuent les masques de protection et expliquent comment les mettre correctement. «Luzerner Zeitung»

(…). Dommages, salissures et nuisances sonores sont monnaie courante, au grand dam des CFF entre autres (…). La présence de personnel a pour but de décourager les intrus. Les CFF contribuent déjà financièrement à l’engagement d’une patrouille de sécurité de Securitas. Celle-ci effectue des contrôles dans la gare également, sur mandat de la commune.
«St. Galler Tagblatt»

Snow Polo St. Moritz
(…). Securitas est aussi responsable de la sécurité dans les différentes tentes, de celle des VIP à la cuisine. Le secteur des poneys et la place d’échauffement doivent être fermés, et le contrôle des accès à la tribune principale sur le lac doit être garanti. Les patrouilles veillent au calme et à l’ordre sur tout le site. (…).
«Südostschweiz / Bündner Zeitung»

Ces derniers mois, des voleurs s’en sont pris par trois fois aux contenus des coffres de la Banque cantonale (…). La banque a pris des mesures (…) pour renforcer la sécurité (…). Il n’est désormais plus possible de retirer de l’argent au guichet des succursales de Breitenbach et d’Ettingen. Des collaborateurs de Securitas patrouillent dans les agences où les retraits au guichet sont encore autorisés (…).
«Basler Zeitung»

Un Lucernois a été agressé sans raison apparente par un inconnu samedi matin tôt en gare de Lucerne. (…). La victime, qui portait des lunettes, a reçu un violent coup de poing à la pommette droite. À moitié assommé, le visage ensanglanté, l’homme est tombé à genoux. Quatre collaborateurs de Securitas se sont occupés de lui et l’ont amené à la permanence médicale de la gare pour y recevoir les premiers soins. (…)
«20minutes»

La Fête des Vignerons, qui n'a lieu qu'une fois par génération, a connu un énorme succès populaire. À mi-parcours, la Fête avait accueilli plus de 600 000 visiteurs en 15 jours, un chiffre qui bat tous les records. Le seul jour de la Fête nationale du 1er août, 100 000 personnes se pressaient à Vevey. (…). La police et Securitas ont comptabilisé 1200 interventions depuis le début de la Fête. (…).
«Le Blick»

Laura Amato a besoin de toute sa concentration pour régler le trafic sur la ceinture est de Berne. Certains automobilistes ou cyclistes en revanche sont bien plus distraits, voire impatients ou agressifs. (…). Il ne pleut pas, c'est la canicule aux abords de ce chantier sur l'Ostring. Le béret en tissus perforé protège des insolations, mais cette tension constante est usante. Amato précise: «Nous travaillons un quart d'heure, puis un collègue nous remplace». La collaboratrice ne peut pas se permettre la moindre erreur. «La sécurité des usagers de la route est notre priorité» (…).
«Le Bund»

Le cirque Knie se produit ces jours sur la Rosentalanlage de Bâle. (…). Vers 22h45, après la représentation, un homme a agressé verbalement des membres de la troupe. (…). Puis, soudain, l’agresseur s’en est pris à un couple de spectateurs. (…). Le couple s’est éloigné en direction du parking (...). Mais l’inconnu les a suivis. Il s’est brusquement jeté sur eux et les a frappés. Un passant qui se précipitait à leur secours a été également blessé. Un employé de Securitas et son chien ont réussi à maitriser l'agresseur. L'homme, un Suisse âgé de 43 ans, a été arrêté par la police bâloise. (…).
«20 minutes»

Une centaine de cars ont amené hier 4000 touristes chinois à Lucerne. Une foule impressionnante. (…). Peu avant 10h, le premier autocar arrive sur l'immense place en gravier devant le parc des expositions de Lucerne. (…). Il est suivi par 99 cars supplémentaires. Des collaborateurs de Securitas gèrent le transfert des arrivants dans les bus articulés des sociétés de transport locales. (…)
«Der Bund»

Si des jeunes sont trop bruyants la nuit ou laissent traîner leurs déchets, les collaborateurs de Securitas SA veillent à maintenir le calme et l’ordre. Depuis dix ans déjà, la commune d’Argon collabore avec l’entreprise de sécurité privée. Dans un communiqué de presse, la ville a d’ailleurs annoncé que les communes de Egnach, Horn, Roggwil et Steinach entendent elles aussi faire appel à des patrouilles d’ordre. (…).
«Thurgauer Zeitung»

Lorsqu’une fête bruyante se prolonge bien après minuit, les voisins ont tôt fait de composer le 117 pour appeler la police. Il peut cependant s’écouler un certain temps avant que la police cantonale de Bâle-Campagne n’arrive sur place. Les autorités de Therwil trouvent ce délai trop long. (…). « En cas de tapage nocturne, la population requiert des interventions assez rapides. » Puisque la police n’a pas toujours été en mesure de s’occuper sans tarder du tapage nocturne, le Conseil communal de Therwil a résilié le contrat à la fin 2018 et confié cette mission à l’entreprise de sécurité privée Securitas. (...)
«Basler Zeitung»

Pendant deux jours à Oberdorf, la police, les pompiers, l’armée et d’autres organisations feront la démonstration de situations d'urgence auxquelles les équipes de sauvetage sont confrontées. (...). Les visiteurs profiteront d’un programme riche lors de ces deux journées portes ouvertes. Securitas, les services électriques et la Rega seront entre autres présents aux côtés des organisations cantonales de sécurité et de l'armée. (...).
«Nidwaldner Zeitung»

(…) Securitas SA se présentera dans l'enceinte de l'OLMA samedi, avec ses partenaires des différents secteurs. Les visiteurs pourront tout voir et essayer: des démonstrations en direct d’interventions spéciales, de la lutte contre l’incendie, des entraînements au combat et un programme avec des concours, des surprises, du popcorn gratuit, un château gonflable et du bull-riding. (…).
«St. Galler Nachrichten»

Le festival en plein air gratuit, qui se déroule au bord du lac à Lucerne, est légendaire. Cette année, il recèle de nombreuses nouveautés: (…). Les grillages délimitant le périmètre du terrain ont complètement disparu. «Le festival devient ainsi encore plus convivial et accueillant», explique son porte-parole David Largier. «L'atmosphère y est nettement plus agréable.» La sécurité n’est toutefois pas en reste. Outre les spécialistes de Securitas, des collaborateurs du festival patrouillent également en petits groupes pour assurer la sécurité. «20 minutes»

En ville de Lucerne, la scène est bien connue: des groupes de touristes chinois déferlent sur les passages piétons, même lorsque le feu est depuis longtemps passé au rouge. (…). À la «Schwanenplatz», en direction de la gare, les transports publics VBL (...) peuvent toutefois compter sur le soutien des collaborateurs Securitas, qui dirigent les cars vers les places de parc. Christian Bertschi, porte-parole des VBL: «Les collaborateurs de Securitas nous aident également à éviter que les touristes qui sortent des cars se retrouvent soudainement sur la route, en les guidant en direction du lac via les passages piétons avec un feu de circulation.»
«Luzerner Zeitung»

(…). L’équipe nationale est bien protégée dans son lieu de résidence, le Villa Sassa Hotel situé au cœur de Lugano. En effet, quinze collaborateurs de Securitas garantissent la sécurité de l’équipe 24 heures sur 24. Les footballeurs demeurent cependant dans une aile séparée de l’hôtel; la piscine et l'espace bien-être sont bien entendu librement accessibles aux autres clients de ce luxueux hôtel. (…).
«Blick»

(…). L’organisateur du Symposium de St-Gall a mandaté Securitas pour garantir la sécurité sur le périmètre de l’Université. Une tâche compliquée, étant donné que les quelque 15 accès doivent tous être surveillés. Les polices municipale et cantonale sont également sur place. (…). Dominic Bachmann, membre de la direction de la Fondation St-Gall, (...) explique que les mesures de sécurité ont été renforcées. «Auparavant, l’accès au site était libre.» Ainsi, les attentats du 11 septembre 2001 ont également eu des répercussions sur le symposium (…).
«St. Galler Tagblatt»

(…). Certains jours, des jeunes patients sont admis sans interruption aux urgences de l’Hôpital des enfants de l’Université de Zurich (...). L’attente peut par conséquent être longue et les nerfs des parents sont parfois à vif. (…). «(…) nous avons dû appeler quelques fois la police pour calmer la situation», explique le chef de service des urgences, Georg Staubli. (…). C’est pourquoi des mesures de sécurité ont été prises: (…). Désormais, un collaborateur de Securitas est présent dans la salle d’attente. (…). «Il pourrait intervenir si besoin», précise Georg Staubli. Mais cela n’a guère été nécessaire jusqu’ici: «Souvent, le dialogue permet de clarifier les choses.» Et la simple présence de l’uniforme a d’ailleurs déjà un effet concret. «Depuis lors, la situation s’est nettement calmée.» (…).
«20 minutes»

La municipalité veut rétablir l’ordre dans la vieille ville. (...). Dorénavant, Securitas y effectuera des patrouilles plus fréquentes et plus régulières. Une présence renforcée (...) et un éventail de tâches élargi permettront aux patrouilles du Service d’ordre d’agir de manière plus efficace et plus spécifique contre le bruit et le tapage nocturne. Jusqu’ici, la présence des services de sécurité avait un effet préventif, mais, à l’avenir, ceux-ci seront plus réactifs envers les noctambules causant du bruit intempestif.
«Surseer Woche»